Mensuelle e-commerce n°10 : Octobre 2021

Dernière ligne droite avant les fêtes de fin d’année. En tant qu’expert SEA e-commerce, nous avons choisi de vous partager, chaque mois, un récapitulatif de l’actualité e-commerce. La mission ? Mettre à votre disposition notre expertise secteur ! S’abonner à la mensuelle On rembobine ⏳ ETUDE Les Français se rendent moins souvent en hypermarché au profit des EDMP  (enseignes à marque propre) et des achats en ligne.  L’année 2021 a été marquée par un bouleversement majeur en terme de comportement d’achat : les Français se rendent moins souvent en magasin, quitte à augmenter leur panier moyen. Le marché des PCG-FLS (produits de grande consommation, frais-libre service) a connu une concentration de 2% en 2021 par rapport à l’année 2020, une année qui avait déjà connu un boom de la concentration des achats dû aux périodes de confinement.  Une tendance qui touche principalement les hypermarchés, mais qui a tout de même entraîné une diminution générale étant donné leur importance dans le quotidien du consommateur. Néanmoins, selon Kantar Worldpanel, la répartition entre les enseignes reste similaire entre 2020 et 2021. Au contraire, les Français ont privilégié deux autres canaux : +5% de fréquence pour les EDMP (enseignes à marque propre) comme Liddle, Aldi, Biocoop, Picard ou Grand Frais +40% de transactions en ligne par rapport à 2019  Cette année, pas moins de 10,5 millions de ménages, personnes seules ou familles, ont commandé sur Internet en consacrant 22% de leur budget annuel à ce canal. Le gain de temps permis par les achats en ligne attire les Français, mais pas seulement. Dans l’objectif d’adopter un comportement d’achat plus raisonné, les achats en ligne permettent de limiter le risque d’achats impulsifs. Une tendance à l’augmentation pour le e-commerce qui semble durable et pérenne ! En effet, Kantar prévoit que la part des dépenses en ligne dépassera 9% en 2022, contre 8,8% en 2021 et 6,4% en 2019. Sources : Référenseigne Expert 2021, publié par Kantar Worldpanel Ecommercemag.fr Evaluer votre potentiel croissance ATTRIBUTION Google Ads annonce que les modèles d’attribution seront Data-Driven par défaut, c’est à dire basés sur les données et sur l’apprentissage automatique. Depuis l’annonce de la suppression des cookies tiers d’ici 2023, la méthode FloC (Federated Learning of Cohorts) présentée par Google apparaît comme une alternative proposant plus d’options d’attribution, même pour les petits comptes. Rappel sur la méthode FloC ou l’apprentissage fédéré par cohortes. Elle permet de cibler la publicité par centre d’intérêt. Le navigateur Chrome de Google génère des grands groupes aussi appelés « cohortes » d’utilisateurs anonymisés avec des historiques de navigation similaires qui traduisent des centres d’intérêt semblables. Les annonceurs peuvent ensuite sélectionner ces groupes pour cibler les publicités sans connaître les individus. Une solution d’attribution Data Driven qui a pour objectif de comprendre comment chacun de vos contenus publicitaires a eu impact sur vos conversions, tout en respectant la confidentialité des utilisateurs.  Zoom sur les avantages de la méthode FLoC data-driven ! Quels sont les avantages de migrer vers la méthode Data-Driven proposée par Google dans un nouveau paysage de la confidentialité ? Une méthode disponible pour les annonces Search, Shopping, Display et YouTube.  Un basculement au DDA par défaut mais qui n’exclut pas les autres types d’attribution : vous pouvez sélectionner manuellement les autres types d’actions de conversion Une solution pour découvrir quels mots clés, annonces, groupes d’annonces et campagnes vous permettent le mieux d’atteindre vos objectifs commerciaux pour ne déployer que les publicités les plus efficaces. Une méthode d’attribution auparavant disponible uniquement pour les comptes ayant enregistré suffisamment de conversions, mais qui est aujourd’hui disponible pour tous. L’apprentissage automatique utilisé par DDA semble donc être une alternative à la perte des données issues des refus de cookies. De notre côté, nous sommes encore en train de tester l’efficacité de ce modèle sur le compte de certains de nos clients avant de généraliser la méthode. Pour en savoir plus sur l’impact du DDA sur vos campagnes, rapprochez-vous d’un expert Google Ads ! Contacter un membre de la FoxTeam PAIEMENT EN LIGNE Le paradoxe du paiement en ligne : les attentes des français VS les tendances des e-commerçants 1 million de Français en plus se sont mis à acheter en ligne (2e trimestre 2021 vs 2e trimestre 2020), soit +2,3% (*). Néanmoins 9 sites e-commerce sur 10 proposent une expérience de paiement insatisfaisante (**).  Nous avons donc confronté plusieurs études sur le comportement des consommateurs face aux expériences proposées par les marques en ligne pour comprendre le paradoxe entre les attentes des cyberacheteurs et la réalité à laquelle ils sont confrontés. Quels sont les paradoxes du match du paiement en ligne : cyberacheteurs vs e-commerçants ? Le temps dédié au paiement en ligne, un critère précieux Pas moins de 63% des sites e-commerce ne proposent pas la saisie automatique de l’adresse et 45% commettent au moins trois erreurs liées au formatage des informations de paiement ou à l’affichage des messages d’erreur (**). Un temps perdu précieux pour le consommateur puisque 31% des cyberacheteurs ont renoncé à un achat à cause d’une expérience de paiement de plus de 3 minutes en moyenne. Une progression de la confiance du cyberacheteur  Progressivement les internautes ont tendance à diminuer leur méfiance envers la gestion de la fraude : 51% des cyberacheteurs acceptent d’enregistrer leur CB sur les plateformes (*). Or, 56% des sites e-commerce sont dans l’impossibilité de sauvegarder un moyen de paiement pour faciliter le prochain paiement. Une diversification des méthodes de paiement Même si 77% des internautes ont recours à la carte bleue, 40% utilisent des moyens de paiement alternatifs : PayPal, Google Pay, Apple pay, cartes cadeaux, virements, etc… Paradoxalement, 90% des sites e-commerce ne prennent pas en charge le portefeuille Apple Pay et 93% ne prennent pas en charge le portefeuille Google Pay(**). Le tunnel de paiement reste une étape cruciale dans votre acquisition client et votre fidélisation. Restez alerte à propos des tendances d’achat pour proposer la meilleure expérience qu’il soit à vos internautes. Sources :  (*) L’Observatoire des usages internet de Médiamétrie, en partenariat

Guide 2022 de la publicité digitale

SOMMAIRE Définition de la publicité digitale ? Top des outils de publicité digitale à découvrir et à connaître en 2022 Quels avantages de recourir à la publicité digitale ? Quelles sont les principales mesures de la publicité digitale ? De plus en plus d’entreprises déboursent des milliers d’euros en publicité digitale grâce à son retour sur investissement (ROI) important. Pour le premier semestre de 2021, selon l’observatoire publié par le SRI, le cabinet Oliver Wyman et l’UDECAM, elle représente une évolution de +42% comparé à l’année précédente, très loin devant les publicités traditionnelles radio ou télé. Pour assurer cohérence et performance aux campagnes mises en place par les entreprises qui souhaitent rester compétitives, il est essentiel d’utiliser les bons leviers publicitaires. Avant, il est important de comprendre ce qu’est vraiment la publicité digitale. Définition de la publicité digitale ? La publicité digitale peut être définie de façon simple comme la publicité réalisée sur Internet et ses différents terminaux, dont l’ordinateur, la tablette et le smartphone. Il lui a fallu moins d’une décennie pour devenir le levier de communication le plus important des annonceurs, et ce, au détriment de la radio et de la télévision.  Tout comme la publicité traditionnelle, elle permet de promouvoir les produits et services d’une entreprise pour lui faire gagner en notoriété et augmenter ses chiffres de ventes. Au lieu d’apparaître sur les panneaux d’affichage extérieur ou les magazines, les publicités seront visibles sur les moteurs de recherche, les réseaux sociaux, etc.  Il faut également savoir que la publicité digitale s’accompagne de données en grande quantité. En d’autres termes, il est possible de suivre les performances des campagnes en temps réel, ce qui n’est pas le cas avec les panneaux d’affichage par exemple. Il est tout aussi possible d’obtenir des informations sur les caractéristiques démographiques, les habitudes et les intérêts des personnes qui visionnent des publicités et interagissent avec ces dernières.  Top des outils de publicité digitale à découvrir et à connaître en 2022 Il existe différents leviers de publicité digitale à utiliser en fonction des besoins des marques. En voici quelques-uns.  Le Search Près de 80 % des consommateurs recherchent des produits dont ils ont besoin sur internet en utilisant les moteurs de recherche comme Google, Bing et Yahoo. Lors de la création des annonces de recherche, il faut cibler les recherches ou les mots-clés spécifiques.  C’est ici qu’entre en jeu le SEA (search engine adversiting), également connu sous l’appellation référencement payant qui est le mode de publicité sur les moteurs de recherche. Il est à différencier du SEO (search engine optimisation) qui fait référence aux techniques d’amélioration du référencement organique ou naturel des sites.  Le SEA consiste à acheter des mots-clés dans les moteurs de recherche conformément au système d’enchères afin d’assurer une meilleure visibilité du site dans les résultats de recherche des internautes. La facturation se fait au clic ou PPC (paiement au clic). Si vous utilisez Google, rendez-vous sur l’interface « Google Ads » (ancien Google Adwords). Toujours selon les données de l’observatoire de l’ePub sur le premier semestre de 2021, le Search représente une augmentation de 43% des budgets des annonceurs français (1 537 millions d’euros). Il s’agit aussi de l’une des principales sources de financement de Google qui détient près de 88 % des parts du marché.  Le Display Cette catégorie de publicité digitale représente près de 18% des investissements publicitaires des annonceurs en France (selon l’observatoire de l’ePub sur le premier semestre de 2021). 90 % des utilisateurs ont également pris une décision d’achat après la vision d’une vidéo ou des images.  En utilisant la publicité display sur n’importe quel moteur de recherche, les publicités apparaissent sur les sites web affiliés. De plus en plus d’entreprises préfèrent Google, puisque les affichages publicitaires apparaissent sur YouTube, ce qui permet à l’annonceur de cibler les utilisateurs de ces deux plateformes.  Les réseaux sociaux  Les socials ads captent près de 77% du budget d’investissements des annonceurs en France (selon l’observatoire de l’ePub sur le premier semestre de 2021) et sa croissance s’élève à 58% (en partie grâce à la vidéo). L’essor des réseaux sociaux a été influencé ces dernières années par l’explosion du social commerce, c’est-à-dire le fait de donner la possibilité aux followers d’une marque d’acheter les produits directement sur sa page sociale.  Les entreprises peuvent utiliser différents réseaux sociaux pour faire leur publicité comme Facebook, Instagram, Twitter, Pinterest ou Linkedin. Si vous êtes décidé à employer les socials ads pour vos campagnes, vous pouvez créer vos annonces sous forme de texte, de vidéo ou d’image. Ces deux dernières options sont les plus indiquées pour promouvoir une marque. Il faut également savoir que les réseaux sociaux donnent la possibilité à une entreprise d’accéder aux options d’enchères supplémentaires. Si vous cherchez par exemple à attirer plus de followers sur Twitter, vous pouvez utiliser le coût par suivi ou CPF. Il est possible d’en faire de même sur LinkedIn en utilisant le coût par envoi ou CPS qui permet d’atteindre les candidats passifs.  Les influenceurs La montée en puissance des réseaux sociaux a aussi été confortée par l’influence marketing. À noter que l’influence constitue une entité à part lorsqu’elle est assimilée par une approche commerciale. Il suffit alors de s’associer aux influenceurs des réseaux et médias sociaux qui possèdent déjà une grande notoriété auprès de votre public cible. Ces professionnels se chargeront alors de recommander vos produits ou services auprès de leur communauté.  Ce qu’il savoir, c’est que les influenceurs proposent des tarifs différents par rapport aux autres canaux de publicité digitale. Il peut s’agir d’un tarif forfaitaire basé sur le nombre de leurs abonnées ou sur le niveau d’engagement sur les messages. Ils peuvent également facturer leur prestation en fonction des performances des messages parrainés.  Le retargeting Le retargeting, également connu sous l’appellation « reciblage publicitaire » est un outil de publicité digital qui consiste à montrer un message à un internaute lorsque celui-ci se positionne sur un stade avancé de l’entonnoir de conversion. Comment le savoir ? Simplement lorsqu’il consulte un page produit, se renseigne sur un comparateur ou lorsqu’il

Mensuelle e-commerce n°9 : Septembre 2021

Sommaire Dernière ligne droite avant les fêtes de fin d’année. En tant qu’expert SEA e-commerce, nous avons choisi de vous partager, chaque mois, un récapitulatif de l’actualité e-commerce. La mission ? Mettre à votre disposition notre expertise secteur ! CHIFFRES E-COMMERCE La FEVAD publie le Bilan 2021 sur l’e-commerce en France  En 2020, le secteur e-commerce, produits et services confondus a atteint 112,2 milliards d’euros. Une croissance annuelle de 8,5%, soit 3 points de moins que prévu par les anticipations de la FEVAD en début d’année. Mais également 4,5 points de moins que les 4 dernières années ou le taux de croissance moyenne atteignait 13%.  Cette année, la croissance e-commerce est principalement dûe à l’augmentation des achats en ligne de produits : +32% de croissance pour l’achat de produits en ligne  -10% pour l’achat de services en ligne, un secteur très impacté par la pandémie  Quelles sont les différentes tendances e-commerce en BtoB ? 👉 E-commerce en BtoC Combien de Français achètent en ligne ? Aujourd’hui 41,6 millions de Français achètent sur internet, soit 81,4% de la population de l’hexagone. Et 98 % des cyberacheteurs sont satisfaits de leurs achats réalisés sur Internet au cours des 12 derniers mois. Combien les e-acheteurs ont-ils dépensé en 2020 ? En moyenne, les e-acheteurs ont effectué 3,7 transactions en ligne par mois avec un panier moyen de 61€. Quelles principales raisons ont poussé les consommateurs à acheter en ligne en 2020 ? Hormis les 33% d’acheteurs qui disent ne pas avoir eu le choix, 52% des acheteurs l’ont fait pour éviter les risques liés à la pandémie et 45% pour éviter les contraintes.  Quel rapport les cyberacheteurs ont-ils avec la livraison ? En 2020, 42% des e-acheteurs se sont abonnés à au moins un service de livraison et 20% ont utilisé au moins un service de livraison express au cours des trois derniers mois. Quelle place prend l’international dans la stratégie de croissance des e-commerçants ? En 2020, 59% des sites leaders vendaient à l’international depuis la France, et 28% d’entre eux sont présents dans plus de 10 Pays.  👉 E-commerce en BtoB Comment se porte le e-commerce aux professionnels en France ? Le commerce BtoB en ligne a connu une baisse de la croissance dûe à la pandémie et à l’arrêt d’activité de nombreux secteurs : +11% de croissance en 2020 contre +14% en 2019. Quelles sont les perspectives e-commerce pour le BtoB ? La pandémie semble avoir modifié les comportements de consommation de manière durable puisque 70% des acheteurs qui sont passés à l’e-commerce pendant la pandémie, affirment que cette évolution de consommation est désormais acquise. De quels secteurs sont issus ces nouveaux e-acheteurs ? Les agriculteurs représentent la part d’acheteurs la plus importante en BtoB avec presque 1 acheteur sur 2 qui consomme en ligne. Le secteur agricole est suivi de près par le commerce de gros et de détail (40%), et par le secteur de la santé (38%).  POST-PANDEMIE 1 Stripe & YouGov publient une étude sur l’impact de la pandémie sur les habitudes d’achat en France et en Europe L’Institut de sondage YouGov a publié une étude pour Stripe, le leader du paiement en ligne, dans le but d’étudier l’impact de la pandémie COVID-19 sur les habitudes d’achat dans plusieurs pays Européens. 👉 Les marketplaces sont incontournables pour les acheteurs Français ! L’étude révèle que plus de 1 français sur 2 (52%) déclare préférer effectuer ses achats sur un seul et même site en ligne plutôt que de fragmenter ses achats sur plusieurs sites ou commerces indépendants. En France, ce phénomène d’engouement pour les places de marché est encore plus marqué chez les millenials : 62% d’entre eux disent préférer ce mode d’achat. 👉 Pour quelles raisons les français s’orientent-ils vers les marketplaces ? Les français préfèrent le côté pratique (37%) et l’étendue de l’offre proposée (37%). En troisième position c’est la notion d’inspiration qui revient avec 33% des consommateurs français qui apprécient découvrir de nouveaux produits et de nouvelles marques grâce aux places de marché.  👉 Quelles perspectives pour les marketplaces ? Selon les prévisions de Gartner Predicts, 75% des achats en ligne passeront par les marketplaces en 2022. Un chiffre qui souligne l’importance pour les e-commerçants, d’être dès à présent, actif sur les places de marché.  POST-PANDEMIE 2 Kantar publie une étude et définit 4 profils de consommateurs français post-pandémie Kantar a réalisé une étude auprès de 25 000 shoppers en France, au Royaume Uni et en Espagne pour définir 4 types de shoppers selon leur exposition aux tensions économiques post-pandémie. Du plus préservé au plus vulnérable aux tensions économiques, voici un zoom sur ces 4 profils consommateurs. Les préservés (20% des Français) : Ce sont majoritairement des retraités qui ne connaissent pas de difficultés financières particulières au sein de leur foyer.  Une population plutôt optimiste pour l’avenir avec 59% des sondés qui n’envisagent pas une dégradation de leur situation financière post-pandémie. Pour 1 shopper sur 2, il est cependant important de privilégier les achats en commerces de proximité pour soutenir l’économie locale suite à la crise. Les pragmatiques (33% des Français) : Il s’agit de foyers aux revenus confortables dont les membres sont souvent plus jeunes que la moyenne nationale. Ces consommateurs sont plus à la recherche de produits bios et locaux que la moyenne. La crise sanitaire n’a pas réellement eu d’impact sur leur situation professionnelle et financière. Paradoxalement, 47% de ces shoppers ne semblent tout de même pas optimistes pour l’avenir. La pandémie n’a fait que renforcer leur intérêt pour la qualité de leur consommation : toujours plus de bios et de produits locaux Les combatifs (15% des Français) : Les combatifs représentent la population la plus jeune des quatre groupes. Ces foyers disposent d’un revenu en ligne avec la moyenne nationale mais subissent une contrainte budgétaire plus marquée que pour les 2 précédents groupes de shoppers.  Ils ressentent davantage les conséquences financières de la pandémie. Cependant, 69% d’entre eux restent optimistes pour l’avenir. Ils accordent leur confiance aux marques et distributeurs pour relancer l’économie du pays ainsi que leur

Pub Facebook dropshipping : comment s’y prendre ?

Pour que vos campagnes Facebook Ads soient entièrement bénéfiques, vous devrez tenir compte de plusieurs notions : emplacement des pubs, leur contenu, leur ciblage, etc. De plus, depuis peu, Facebook à mis en place le « Facebook Discovery Commerce” , un système qui permet aux commerçants d’avoir des outils d’analyse avancés. Cet article fait le point sur les bonnes pratiques pour investir efficacement dans la pub Facebook dropshipping. Basez-vous sur les avis clients De nos jours, presque la majorité des marketeurs optent pour de la publicité Facebook. En effet, ce réseau social compte 46,4 millions d’utilisateurs actifs mensuels en France (source médiamétrie) et il est particulièrement efficace pour toucher une vaste audience. Il en va de même pour faire connaître votre boutique de dropshipping. Cette publicité en ligne est un moyen efficace pour booster aussi bien vos ventes que votre chiffre d’affaires.  Les internautes peuvent être réticents vis-à-vis des publicités. Ils ont plus tendance à faire confiance aux avis des autres utilisateurs de Facebook. C’est pour cette raison que la recommandation est l’un des moyens les plus efficaces pour faire la promotion de vos pubs sur Facebook Ads. Par conséquent, il convient d’utiliser des témoignages de clients satisfaits pour crédibiliser votre site de dropshipping. Grâce aux recommandations et aux avis clients, vous parviendrez à rassurer vos futurs acquéreurs. Les avis clients conviennent aussi pour contrer les objections de votre audience.   Valorisez des images Pour attirer l’attention des clients, il n’y a rien de tel que d’apporter une part d’humanité à vos Facebook Ads. Pour cela, il est conseillé d’y ajouter des images, notamment des visuels avec des personnes. À côté des témoignages de vos clients, vous pourrez ajouter la photo et le prénom de l’acheteur en question. Cela améliore la confiance vis-à-vis des propos. Dans le cas où vous mettriez des photos de personnes dans vos publicités, préférez les portraits souriants. Les photos qui regardent directement l’internaute dans les yeux sont également à privilégier. En attirant le regard et en dégageant un esprit de satisfaction, votre publicité sera plus engageante. Optez pour des messages clairs Les Facebook Ads sont particulièrement efficaces lorsqu’ils évoquent un message clair. Lorsque les internautes tomberont sur votre publicité, il est fort probable que ce soit des acheteurs potentiels. Il est donc crucial d’apporter une réponse directe et claire à leurs différentes requêtes. Pour s’assurer de rédiger une publicité claire, pensez à utiliser des phrases courtes et des mots simples. Retenez que les internautes ne veulent pas perdre du temps et ils cherchent à facilement comprendre un message qui est lisible en quelques secondes. Pour faciliter la compréhension de vos pubs, n’hésitez pas également à utiliser des nombres. L’aspect d’urgence des Pub Facebook dropshipping L’urgence est un outil de persuasion non négligeable. C’est valable pour vos Facebook Ads étant donné que de nombreuses personnes ont tendance à procrastiner. Vous devrez indiquer à vos clients qu’ils doivent agir vite, sinon, ils ne risquent pas de faire quoi que ce soit. Ainsi, pour inciter les internautes à acheter vos produits, il est important que vos publicités intègrent une date butoir ou bien des quantités limitées. N’hésitez pas à indiquer que vous n’avez plus que 20 articles en stock. Pour ne pas rater une telle affaire, vos clients potentiels pourraient bien acheter vos produits plus rapidement que prévu. Utilisez du format vidéo Afin de varier votre publicité et attirer l’attention des internautes, vous pourrez réaliser des publicités vidéo. L’emplacement des Pub Facebook dropshipping Il existe de nombreuses possibilités pour organiser vos campagnes publicitaires sur Facebook. Quand vous créez des Facebook Ads, Facebook choisit les placements automatiques. Vous pourrez varier les emplacements de vos pubs en fonction de leur objectif. Il convient alors de définir l’objectif de votre publicité : faire connaître votre entreprise sur Internet, augmenter le nombre de visites sur votre site, promouvoir vos produits ou autres. Pour rappel, les publicités sur mobile enregistrent un taux de clics supérieur à celui des publicités sur ordinateur. Du fait d’une telle statistique, vous devrez vous assurer que votre site soit responsive (adapté pour le mobile). Concernant les marchands Shopify, tous les thèmes de boutiques en ligne Shopify sont adaptés pour le mobile. Ils garantissent également un passage à la caisse très fluide sur mobile. Sur ordinateur, les publicités peuvent apparaître dans la colonne de droite ou dans le fil d’actualités. Sur ce dernier, les pubs impliquent plus d’engagements que les pubs se trouvant à la colonne de droite. Pour créer des publicités de fil d’actualités, vous devrez avoir une page Facebook. Des publicités avec des objectifs bien définis Les pubs Facebook pour dropshipping peuvent servir pour différentes raisons : Améliorer la notoriété de votre boutique d’e-commerce : vous pourrez créer des pubs mettant en valeur votre marque et les produits que vous mettez en vente. Atteindre le maximum d’utilisateurs : pour cela, concevez des pubs qui attirent l’attention. N’hésitez pas à vous servir des buzz actuels pour capter la curiosité des utilisateurs. Augmenter les vues de vidéos : créez des vidéos intéressantes en lien avec votre activité. Pour conclure, vous devez donc communiquer un maximum sur vos atouts lors de de la mise en place de votre pub Facebook dropshipping comme par exemple, la mise en avant de votre catalogue produit, les avantages liés à la livraison, … Mais il faut également savoir s’entourer de professionnels à l’exemple de SteerFox qui va vous permettre d’identifier le potentiel des différents produits de votre catalogue afin de mettre en place par la suite un pilotage plus efficace. Recevoir des conseils pour ma stratégie d’acquisition

Mensuelle e-commerce n°6 : Août 2021

Sommaire En tant qu’expert SEA e-commerce, nous avons choisi de vous partager, chaque mois, un récapitulatif de l’actualité e-commerce. La mission ? Mettre à votre disposition notre expertise secteur ! S’abonner à la mensuelle  GOOGLE Google lance une solution de recherche dédiée aux sites e-commerce pour améliorer la découverte de produits et réduire l’abandon de la recherche Selon une étude réalisée par Harris Poll, chaque année, les plateformes e-commerce perdent environ 300 milliards de dollars à cause de l’abandon de recherche. D’où vient ce manque à gagner ? Dans la plupart des cas, un utilisateur quitte un site e-commerce alors qu’il est en train de chercher un produit car les outils de recherche ne sont pas optimisés. En effet, plus de 9 consommateurs sur 10 affirment avoir obtenu des résultats non pertinents alors qu’ils cherchaient un produit en ligne durant ces 6 derniers mois. Un manque à gagner qui a entraîné Google à trouver des solutions face à ce problème en proposant une solution de recherche dédiée aux sites e-commerce : Google Cloud Retail Search. Un outil personnalisable qui va permettre aux e-commerçants de mieux comprendre l’intention d’achat sur leur site et application en proposant une fonctionnalité de recherche de qualité Google sur leur propre catalogue produit. Une solution qui va donc créer une expérience de recherche beaucoup plus optimisée et donc plus agréable pour le consommateur.  En tant que bêta-testeur, la chaîne américaine Macy’s a déjà pu affirmer que Google Cloud Retail Search leur a permis de constater une amélioration des taux de clics et des revenus par visite. Enfin une possibilité “d’offrir l’expérience à laquelle nos clients s’attendent” a déclaré Jilberto Soto , directeur de la gestion des produits chez Macy’s. La solution pourrait même créer un cercle vertueux autour de la consommation en ligne puisque 53% des acheteurs qui trouvent les produits qu’ils recherchent se procurent également d’autres articles dans la même boutique en ligne. Une annonce qui colle parfaitement avec la méthode SteerFox. En tant que solution croissance e-commerce, il est dans notre ADN de privilégier l’approche catalogue produit pour exploiter le potentiel individuel de vente de chacune de vos références. PINTEREST Pinterest lance de nouveaux outils pour permettre aux e-commerçants de développer l’affiliation en tant que canal d’acquisition. Dans la course des plateformes sociales à devenir de vrais acteurs e-commerce à part entière, Pinterest développe de nouveaux outils dédiés au shopping en ligne. « Les utilisateurs viennent sur notre plateforme pour faire du shopping », affirme Pinterest. La société a annoncé la sortie en version bêta d’un outil permettant de faciliter la mise en place de partenariats rémunérés entre les e-commerçants et les influenceurs.  Il y a quelques mois, la plateforme sociale lançait les « Épingles Idées ». A l’image des stories, les épingles idées permettent aux créateurs de contenu d’interagir avec leur audience. Désormais, les « Épingles Idées » permettront aux créateurs de contenu, souvent des influençeurs, de percevoir des commissions de vente grâce aux liens d’affiliation. Le principe est simple. Les créateurs d’épingles idées pourront taguer des produits à choisir parmi les millions d’épingles produits déjà disponibles sur la plateforme. Quel avantage pour les e-commerçants ? Pinterest affirme que les utilisateurs de la plateforme seraient “89 % plus susceptibles de manifester leur intention d’acheter des produits tagués dans une épingle idée plutôt que dans une épingle produit standard”. La plateforme souhaite également proposer plus de transparence avec partenariats rémunérés et les placements de produits. Bientôt disponible en France ? A date, cette fonctionnalité n’est disponible que pour les comptes professionnels aux Etats-Unis et au Royaume-Uni. Elle devrait arriver en France et dans les autres pays dans les prochains mois. Le développement de fonctionnalités shopping, rend Pinterest de plus en plus attractif en tant que canal d’acquisition à part entière. En tant qu’expert SEA, déjà 40% de nos clients ont activé ce levier d’acquisition pour diversifier leur audience et booster leur croissance e-commerce. WALMART Walmart va vendre ses technologies d’e-commerce à d’autres petits et moyens e-commerçants. Grâce à un partenariat avec Adobe, Walmart développe sa marketplace et ouvre ses solutions e-commerce à d’autres retailers pour accélérer leur transformation numérique.  Quel avantage pour les e-commerçants ? Les retailers pourront vendre leurs produits directement sur la marketplace de Walmart, mais pas que. Ils pourront également intégrer les mêmes outils logistiques que la chaîne de supermarchés américaine, dans leur propre boutique en ligne. Des technologies d’enlèvement et de fulfillment en ligne et en magasin, disponibles dès le début de l’année prochaine.  Des milliers de petits et moyens retailers clients d’Adobe, pourront par exemple afficher les créneaux disponibles pour le retrait ou proposer à leurs employés des outils mobiles pour composer les commandes Un service sous forme d’abonnement qui pourrait permettre aux retailers d’atteindre de nouveaux clients en tirant parti des services de livraison rapides de Walmart.  Quel intérêt pour Walmart ? L’intérêt est double. Au-delà du fait de générer de nouveaux revenus issus de sa marketplace qui compte actuellement environ 100 000 vendeurs, c’est également l’opportunité de concurrencer Amazon sur son propre terrain. Amazon représente à date un levier d’acquisition SEA pour plus de 1 client sur 2 chez SteerFox. Au-delà du géant Américain, les marketplaces en général sont des leviers d’acquisition SEA avec beaucoup de potentiel. Quel avantage pour les e-commerçants d’activer des campagnes publicitaires sur une marketplace en plus de leur simple présence ? Être présent sur une marketplace permet de toucher des audiences complémentaires et de générer plus de revenus. Cependant n’oubliez pas que les acheteurs ne sont pas vos clients mais les clients de la marketplace. Au contraire, activer des campagnes publicitaires sur marketplace permet de se créer une base de clients directs et de rester propriétaire des data associées. SEA Les prévisions des investissements publicitaires par levier De nombreuses études d’organismes spécialisés ou de grands acteurs dans le secteur publicitaire nous ont permis d’extraire les prévisions des investissements par levier. Quels leviers ont été les plus populaires en 2021, et lesquels le seront en 2022 ? Zenith prévoit une progression des investissements publicitaires

Cookies et RGPD : nos conseils pour des campagnes publicitaires performantes suite aux directives de la CNIL

Sommaire : Rappel sur les dernières directives RGPD de la CNIL Conséquence des nouvelles mesures en terme de suivi de conversion Etape 1 : Rester vigilant autour de l’usage possible du “cookie d’audience exempté” Etape 2 : Choisir un CMP compatible avec les directives de la CNIL et Google Consent Mode Etape 3 : Activer de nouvelles solutions technologiques pour amoindrir les effets négatifs sur la mesure de performance Etape 4 : Tester l’échantillonage ! Etape 5 : Privilégier l’approche produit et libérer le potentiel de votre catalogue Rappel sur les dernières directives RGPD de la CNIL à propos des cookies La CNIL a rendu obligatoire à partir du 1er Avril 2021, la mise en conformité des sites et applications en matière de traceurs. Un rappel sur les 7 grands principes confirmés par la CNIL : Le consentement doit être déposé par un acte positif clair, par exemple par la mise en place d’un bouton “tout refuser” à côté d’un bouton “tout accepter ». Dans le cas contraire, aucun traceur non essentiel au fonctionnement du service ne sera déposé sur leur appareil. Pour cela, refuser les traceurs doit être aussi aisé que de les accepter. Poursuivre la navigation sur un site n’est d’ailleurs pas considérée comme un consentement valide de la part de l’utilisateur. Les sites et applications doivent offrir la possibilité de retirer facilement le consentement à tout moment. La CNIL suggère notamment de conserver pendant une certaine durée le consentement aux traceurs afin de ne pas réinterroger l’internaute à chacune de ses visites. Les internautes doivent être informés des finalités des traceurs soumis au consentement ainsi que de l’identité des acteurs qui utilisent ces traceurs. Pour cela, la CNIL recommande que, “ lorsque des traceurs permettent un suivi sur des sites autres que le site visité, le consentement soit recueilli sur chacun des sites concernés par ce suivi de navigation”. Les utilisateurs doivent également être informés des conséquences liées à leur réponse positive ou négative. Ces acteurs exploitant les traceurs doivent d’ailleurs être capables de fournir la preuve du recueil du consentement à tout moment. 👉 Concrètement, quelles sont les conséquences de ces nouvelles directives de la CNIL sur le trafic de votre site internet ? Conséquences des nouvelles mesures RGPD en terme de suivi de conversion Ces nouvelles mesures ont des conséquences en terme d’acquisition et de tracking : Acquisition : Vos campagnes d’achat de trafic continuent de fonctionner, à l’exception du « retargeting » sur la population qui a refusé les cookies. Tracking : Il devient impossible d’identifier les conversions des internautes qui ont suivi plusieurs campagnes avant de passer à l’action d’achat sur votre site e-commerce. De nombreux clients ont déployé des CMP ce qui a engendré une perte d’audience suivie non négligeable (jusqu’à 70%). Performance : Les résultats de vos campagnes pourront vous paraître moins performants, même si elles restent stables voir croissantes en réalité. En effet, Google Ads ou Analytics ne remonteront plus une partie des ventes en ligne. 👉 Quelles actions mettre en place en réponse à ces directives, pour des campagnes SEA rentables de manière durable ? Etape 1 : Rester vigilant autour de l’usage possible du “cookie d’audience exempté” Certains outils analytiques qui se présentent comme des solutions alternatives à Google Analytics, sont exemptés du recueil du consentement lorsqu’ils sont correctement configurés. Pourquoi sont-ils exemptés ? Car ils valident certains critères émis par la CNIL : Les deux derniers bytes de l’adresse IP de l’internaute sont masqués pour respecter sa vie privée Les données sont stockées eu Europe et l’utilisateur à un droit d’accès à ces données Le traceur sert uniquement à suivre l’audience Un double marquage Google Analytics / Outil exempté permet à la fois de conserver l’ancienneté de son trafic, mais aussi d’être en adéquation avec les mesures de la CNIL. Si vous utilisez déjà une solution exemptée du recueil du consentement, vous devez tout néanmoins avertir les internautes que vous utilisez des cookies et leur donner la possibilité de les supprimer. Cette méthode semble apporter une solution à court terme. Cependant, la CNIL a été très claire à ce sujet, même en anonymisant l’adresse IP et autres éléments, le cookie exempté ne peut pas être utilisé pour des mesures à des “fins économiques ». Il faut donc rester vigilant quant au recueil des données utilisateurs. Etape 2 : Choisir un CMP compatible avec les directives de la CNIL et Google Consent Mode L’utilisation d’un gestionnaire de consentement n’est pas obligatoire si vous développez vous-même une solution qui respecte les directives de la CNIL. Néanmoins, les outils prévus à cet effet facilitent la mise en place et le recueil du consentement. Naturellement, il conviendra de choisir un CMP compatible avec les mesures de la CNIL, ainsi qu’avec Google Consent Mode pour faciliter les prochaines étapes. Parmi les différentes solutions qui existent sur le marché, en voici quelques unes : One Trust Cookiebot Lubenda ConsentManager (solution que nous utilisons chez SteerFox) De 0 à 300 euros pour certaines solutions, le prix varie en fonction de l’utilisation que vous souhaitez en faire et d’autres paramètres : personnalisation du design, nombre de sites internet, trafic, etc… Vous pourrez ensuite établir une comparaison entre l’état initial et après application de votre CMP pour mesurer la déperdition maximale de data. Etape 3 : Activer de nouvelles solutions technologiques pour amoindrir les effets négatifs sur la mesure de performance La plupart des plateformes sont impactées incluant Google Ads, Google Analytics, Microsoft Ads ou Facebook Ads. De nouvelles fonctionnalités sont en train d’émerger pour amoindrir les effets négatifs sur le tracking des performances de vos campagnes. Google Consent Mode Le mode de consentement de Google offre la possibilité d’ajuster le comportement des balises activées via le global site tag ou Google Tag Manager, en fonction de la réponse au recueil du consentement. Les balises s’adaptent de manière dynamique, en n’utilisant uniquement les cookies qu’aux fins spécifiées si le consentement a été donné par l’utilisateur. Une solution adéquate pour suivre vos conversions et pour activer vos campagnes de remarketing.

Publicité en ligne : Google repousse son abandon des cookies jusqu’en 2023

Sommaire À l’ouverture d’une page web, une question revient souvent : voulez-vous accepter les cookies ? Non, il ne s’agit pas des petits gâteaux délicieux que font nos grands-mères, mais d’un outil pour mettre en vente des espaces destinés à la publicité en ligne, personnalisé, et très performant. Cependant, cette pratique sème la pagaille au niveau des utilisateurs et des défenseurs de la protection des données. Heureusement que le géant californien projette d’abandonner définitivement les cookies, d’ici 2023. Focus sur le sujet ! Qu’est-ce qu’un cookie ? Un cookie, expliqué simplement, est un fichier qu’un navigateur (Chrome, Firefox…) utilise lorsque nous surfons sur le web. Il est accompagné d’une bannière ou d’un pop-up. Ce fichier comprend seulement du texte. Lorsque nous surfons sur un nouveau site, nous avons généralement le choix entre « accepter », « refuser » ou « paramétrer les cookies ». Si nous les acceptons, des informations portant sur notre âge, notre pseudo, nos habitudes de navigation… seront enregistrées dans un fichier. Ces données seront stockées par le navigateur en question en vue « d’améliorer » notre mode de navigation. Mais avant cela, ces informations seront préalablement traitées et analysées. Un des objectifs principaux des cookies, c’est de pouvoir permettre au navigateur, de proposer une publicité qui sera susceptible de nous intéresser.  Les cookies peuvent être vus comme des outils de traçage qui enregistrent toutes les habitudes de connexion des internautes, pour leur proposer par la suite des publicités en relation avec les pages qu’ils consultent régulièrement. Exemple concret : à chaque fois qu’un internaute surfe sur le web, si des publicités concernant les dernières chaussures tendances, c’est parce qu’il a auparavant consulté la catégorie “chaussures” sur plusieurs sites de mode. Mais bien évidemment, il ne s’agit pas de magie. Si elles apparaissent, c’est parce que le navigateur a enregistré toutes les données grâce aux cookies.  Les différents types de cookies Il existe plusieurs types de cookies, mais ceux-ci peuvent être regroupés en trois catégories. Les sessions Les cookies de sessions sont le plus souvent utilisés par les marketplaces pour garder les sessions des utilisateurs ouvertes. S’ils font des achats (placer quelque chose dans le panier) et qu’ils changent de page soudainement, lorsqu’ils reviennent à la page du site marchand, ils retrouveront exactement leurs achats là où ils les ont laissés.  Les permanents Les cookies permanents, comme son nom l’indique, restent actifs, même lorsque l’internaute a fermé le navigateur. Ce sont les cookies utilisés pour la mémorisation des logins et des mots de passe afin de faciliter la tâche aux utilisateurs. Grâce à cette mémorisation, ils n’auront plus à réécrire ces données à chaque reconnexion.  Les tiers Il s’agit de cookies déposés par un tiers, dont l’objectif de copier des informations nous concernant. Cela permet aux navigateurs comme Google de faire apparaître sur nos écrans des publicités qui nous correspondent. C’est souvent ce type de cookies qui inquiète le plus les utilisateurs et alimente les débats.  Une étude portant sur l’opinion des internautes sur les cookies a révélé que 80 % d’entre eux sont très inquiets sur l’intégrité de ces cookies et pensent que leurs données personnelles sont utilisées par les entreprises sans leur aval. 70 % voudraient connaître exactement les informations qui les concernent et qui sont divulguées sur internet.  Les cookies : à quoi ça sert vraiment ? Les cookies ont différentes fins, comme :  Permettre de proposer d’enregistrer un login et le mot de passe correspondant Lors de la navigation sur une page web qui requiert un login et un mot de passe, le site vous demande si vous souhaitez l’enregistrer. Si vous acceptez, vos identifiants seront enregistrés par le navigateur ou par un cookie. C’est très pratique pour ne plus avoir à se souvenir de tous les identifiants que vous utilisez. En principe, la loi n’autorise ce type d’enregistrement que pour une durée de six mois.  Conserver les paramètres d’affichage des sites web Cette pratique est très répandue chez les sites marchands et permet à l’utilisateur de retrouver sa session exactement là où il l’a laissée.  Enregistrer les saisies effectuées sur une page web Dans ce cas, les cookies enregistrent les recherches que vous avez effectuées sur les moteurs de recherche. C’est à partir des recherches que vous faites, qu’ils connaîtront également vos centres d’intérêt et vous proposeront des publicités adaptées. Il s’agit donc d’une arme très puissante pour les publicitaires et les annonceurs afin de cibler leurs prospects. De ce fait, internet sans les cookies pourrait être un cauchemar pour ce groupe de personnes.  Google abandonnera ces cookies tiers d’ici fin 2023 La décision avait été annoncée le 14 janvier 2020. Google s’était alors donné 2 ans pour supprimer définitivement les cookies. Finalement, la dernière semaine du mois de juin 2021, le géant californien a annoncé dans un article de blog son intention de repousser cette démarche jusqu’à fin 2023. La cause de ce report est le besoin d’un temps supplémentaire, pour tester et perfectionner le nouveau système, baptisé Privacy Sandbox, qui devrait prendre la relève.  Ce nouveau dispositif est, selon les barons de Google, « plus respectueux » en ce qui concerne la vie privée des utilisateurs. Toujours selon ce magnat de la recherche en ligne, le projet aurait déjà considérablement avancé, mais nécessiterait plus de temps pour que tout soit fait dans les règles de l’art et que l’utilisateur soit toujours au centre.  Cette nouvelle a été bien reçue chez certains internautes. En effet, l’utilisation des cookies n’est pas très bien perçue par de nombreux utilisateurs. En Europe et en Californie, il existe même une législation particulière concernant la protection des données sur le web. Cette loi a été adoptée en vue de protéger les utilisateurs contre l’utilisation abusive de leurs informations personnelles. Pour l’instant, Google travaille continuellement sur un système adapté aux besoins de tous. Il entrera en phase de test vers le dernier trimestre de l’année 2021. Ce nouveau système, nommé « FLoC » (Federated Learning of Cohorts), ne permettra plus aux annonceurs de cibler les internautes de façon individuelles, mais par segment d’audience (par centaine ou par milliers de personnes). Privacy Sandbox permet donc de regrouper des données

Mensuelle e-commerce n°5 : Juillet 2021

Sommaire En tant qu’expert SEA e-commerce, nous avons choisi de vous partager, chaque mois, un récapitulatif de l’actualité e-commerce. La mission ? Mettre à votre disposition notre expertise secteur ! SEA Bilan SEA du 1er semestre 2021. Les investissements publicitaires en ligne ont progressé de 42% au 1er semestre 2021. 👉 Quels leviers publicitaires ont été les plus populaires ? Les réseaux sociaux occupent la première place du podium avec une hausse de 58% des investissements publicitaires en ligne (3). Google reste le levier n°1 en termes de part de marché avec 85% sur la recherche sur desktop mais surtout près de 97% sur mobile (4). Les investissements publicitaires en ligne search et display ont tous deux progressé de 43% au premier semestre (3). Google, Facebook et Amazon captent à eux trois, 70% du marché de la publicité en ligne (8). Des data qui rappellent aux e-commerçants la nécessité d’ouvrir leur acquisition en ligne à Amazon Advertising d’une part, mais également de miser sur les leviers qui participent aux 30% restants d’autre part. Pinterest, Tik Tok, des leviers encore en pleine expansion qui vous permettent de cibler des audiences complémentaires et de générer des ventes en ligne incrémentales. 👉 Quelles sont les prévisions pour le reste de l’année ? Malgré les nouvelles directives en matière de protection des données : Consentement explicite au recueil des données personnelles depuis Mars 2021 Abandon par Google des « cookies » qui permettent aux annonceurs de faire de la publicité personnalisée à partir de 2023 L’observatoire de l’e-pub prévoit une croissance annuelle de 25% à 30% en 2021, pour atteindre 7,7 à 8 milliards d’euros, contre 6 milliards en 2019, avant la crise sanitaire. SOCIAL ADS Facebook et Pinterest annoncent de nouveaux outils et fonctionnalités dédiés au commerce en ligne. Le social shopping ne part pas en vacances cet été. Et pour cause, les plus grandes plateformes sociales : Facebook, Instagram, WhatsApp et Pinterest ont annoncé le lancement de nouvelles fonctionnalités shopping. Le e-commerce est devenu un axe de développement prioritaire pour ces plateformes. Quelles sont les nouvelles fonctionnalités qui vont permettre aux e-commerçants de développer leurs ventes en ligne ? 👉 Facebook : la stratégie, faire décoller la vente en ligne à travers ses différentes plateformes. Facebook développe des outils sur Marketplace, Messenger, Instagram et WhatsApp pour devenir une marketplace de taille dans le secteur du e-commerce. Les e-commerçants pourront créer un magasin en ligne à leur effigie pour proposer aux internautes leur catalogue produit sur WhatsApp. Une fonctionnalité qui se base sur le fonctionnement de Marketplace de Facebook, plateforme depuis laquelle les e-commerçants pouvaient déjà commercialiser leurs produits depuis 2018 à plus de 1 milliard de visiteurs mensuels dans le monde. Les produits des e-commerçants pourront être trouvés grâce à une fonctionnalité de “visual search”. Le principe est simple : l’outil scanne une photo téléchargée par l’utilisateur et propose les produits similaires vendus par les marchands sur Instagram. Les articles vendus sur Facebook et Instagram, chaussures, montres, maquillage… pourront être essayés virtuellement par l’utilisateur grâce à une solution qui combine intelligence artificielle et réalité augmentée. L’objectif est de rassurer, convaincre et inciter l’internaute à l’achat plus rapidement. L’ensemble de ces nouveaux outils permettront aux campagnes de publicité en ligne d’être plus efficaces pour les annonceurs, car basées sur des habitudes de consommation réelles et précises. En 2020, Facebook comptait 45,2 millions de visiteurs uniques par mois en France (+3%), 32,4 millions sur WhatsApp (+32%) et 31,8 millions sur Instagram (+12%) (9). 👉 Pinterest : la stratégie, proposer une expérience de shopping complète, depuis l’inspiration jusqu’à l’achat. En un an, le nombre d’utilisateurs Pinterest ayant navigué sur les espaces dédiés au shopping en ligne a augmenté de plus de 200% (9). La plateforme ne compte pas s’arrêter là puisqu’elle lance 7 nouvelles fonctionnalités shopping, qui vont plaire aux e-commerçants. Shopping Spotlights : le contenu de votre catalogue pourra être mis en avant grâce à des experts qui effectuent une sélection des produits tendance. A date, nous n’avons pas davantage d’informations concernant les paramètres de sélection. L’objectif est de faire découvrir de nouvelles marques et de nouveaux produits comme si l’utilisateur feuilletait un magazine. Acheter depuis la Recherche : les utilisateurs pourront acheter vos produits en stock directement depuis le nouvel onglet de recherche dédié à l’achat. Pour cibler les internautes les plus susceptibles d’être intéressés, Pinterest proposera des filtres en fonction du prix et des marques. Acheter votre Tableau : vos produits vendus sur Pinterest pourront être enregistrés dans une liste appelée Tableau qui rassemble les épingles enregistrées. Depuis ce tableau, l’utilisateur pourra directement acheter tous les éléments en un clic. Pinterest Lens : comme Facebook, Pinterest lance également sa fonctionnalité de visual search qui permet aux utilisateurs de photographier un produit et de trouver les produits similaires disponibles à acheter sur Pinterest. Try On : avec plus de 80 millions de personnes recherchant des articles de beauté chaque mois, Pinterest a dû voir plus loin (10). La plateforme lance Try On, un outil qui permet d’essayer les produits de maquillage virtuellement, grâce à la caméra du téléphone. Une opportunité pour les e-commerçants du secteur de la beauté de mettre en avant les produits de leur catalogue. Shopping en Close-up : vos articles en stock seront mis en avant sur Pinterest grâce à une étiquette indiquant que ce produit est disponible à l’achat. Pour rappel les épingles en close-up se distinguent des épingles classiques car elles sont enrichies en informations : commentaires, site web, détails produits, etc… Pages d’Information Produits : au-delà du prix et de la disponibilité de vos produits sur les épingles en close-up, des informations supplémentaires apparaîtront tels que les indications sur la livraison ou les avis clients. Shopping List : Si vous souhaitez baisser le prix de l’un de vos articles qu’un utilisateur a enregistré sur sa shopping list, ce dernier sera notifié de la promotion pour l’inciter à passer à l’acte d’achat. Et, les utilisateurs sont 7 fois plus susceptibles d’acheter les produits qu’ils ont enregistrés sur Pinterest (10). Autant de nouvelles fonctionnalités qui permettront aux e-commerçants de développer

Grande exposition du fabriqué en France : Castex invite SteerFox à l’Elysée

Ce week-end au Palais de l’Elysée, s’est tenue l’exposition du fabriqué en France. Un événement qui met à l’honneur pendant deux jours, les entreprises de l’hexagone s’inscrivant pleinement dans le Made in France. Au total, 126 professionnels issus de tous les départements et territoires de métropole et d’Outre-mer ont été sélectionnés pour présenter leur produit. Parmi eux, Béatrice Nalpas Cala (COO de Castex) a été accueillie à l’Elysée pour représenter la Manufacture Castex, fabricant français de couettes, édredons et oreillers depuis 1870, et client chez SteerFox depuis 2018. Pour l’occasion, Pierre gaudet, CEO de SteerFox, était l’invité de Béatrice. La manufacture Castex est une entreprise familiale Landaise, qui propose depuis 5 générations, des produits naturels haut de gamme en plumes et duvets neufs à prix direct usine. Des produits exclusivement en vente directe au particulier, sans intermédiaire. Depuis 150 ans, la maison dacquoise allie tradition et modernité en proposant un savoir-faire d’excellence au service de votre sommeil. Aujourd’hui Castex allie tradition et modernité avec une distribution par Internet utilisant les techniques les plus pointues. En tant qu’experts SEA, nous sommes fiers d’accompagner plus de 150 entreprises françaises comme Castex, dans le pilotage de leurs campagnes SEA et leur croissance e-commerce. Recevoir des conseils pour ma stratégie d’acquisition

Mensuelle e-commerce n°4 : Juin 2021

Sommaire En tant qu’expert SEA e-commerce, nous avons choisi de vous partager, chaque mois, un récapitulatif de l’actualité e-commerce. La mission ? Mettre à votre disposition notre expertise secteur ! INSTAGRAM Instagram lance la section Drops pour permettre aux utilisateurs de découvrir de nouveaux produits en avant-première. Le “Drop” est une technique souvent utilisée par les e-commerçants pour promouvoir en avant-première de nouveaux produits de leur catalogue. Instagram s’empare du phénomène. Les “drops”  vont permettre aux e-commerçants de créer de l’engouement autour de leurs nouveaux produits, et ce, avant le lancement. L’idée est de proposer des stocks très limités sur une courte période avec un teasing plusieurs semaines avant la sortie officielle de ces produits. Un outil qui permet à la fois de renforcer l’idée de communauté avec notamment la notion d’exclusivité produit, et de l’autre l’idée d’inspiration. Un des combos favoris des internautes qui sont de plus en plus friands de nouveautés en exclusivité. 👉 Comment la section Drops Instagram pourra être utilisée par les internautes ? Ce nouvel onglet sera disponible au-dessus de l’onglet “Boutique” d’Instagram pour permettre aux utilisateurs de découvrir les derniers lancements produits et collection, ainsi que ceux à venir prochainement.Les internautes pourront également créer des rappels pour recevoir une notification en cas de lancement de produits qui les intéressent.  👉Comment les e-commerçants pourront-ils publier les Drops ? Depuis votre gestionnaire des ventes, vous pourrez accéder à la fonction lancement produit depuis laquelle pour pourrez directement ajouter vos nouveaux produits. Pour promouvoir ces drops, vous pourrez alors les diffuser à travers des stories ou des reals. Avec 21 millions d’utilisateurs en France, Instagram offre l’opportunité d’ouvrir votre acquisition payante pour générer du revenu supplémentaire.  SEO Google lance sa mise à jour Page Experience qui intègre les critères liés à l’expérience utilisateur pour le référencement naturel de votre site web. Google a débuté le déploiement de sa mise à jour Page Experience ce mois-ci. L’objectif ? Enrichir les algorithmes de référencement naturel en intégrant des critères liés à l’expérience utilisateur. En d’autres termes, les pages les plus « conviviales » seront privilégiées par le système. La mise à jour devrait être complétée à la fin du mois d’Août, date à partir de laquelle les changements seront plus significatifs.  👉 En quoi consiste la mise à jour Google Page Experience ? Les critères déjà utilisés par Google : L’ergonomie mobile : les pages web doivent être adaptées aux mobiles La navigation sécurisée : aucun contenu malveillant ne doit apparaître Le HTTPS qui sécurise la connexion Le caractère non-intrusif des publicités : le contenu des pages de votre site doit être accessible facilement Les nouveaux critères pris en compte par la mise à jour : Le changement majeur de la mise à jour réside dans la prise en compte des Core Web Vitals, 3 signaux qui comptabilisent le temps de chargement.  👉 Comment les Core Vital Web évaluent le temps de chargement des pages ? Indicateur 1 : Le Largest Contentful Paint (LCP) : Cet indicateur mesure le temps de chargement de vos pages web. Pour un score optimal, le plus grand élément visible d’une page web doit être affiché en moins de 2,5 secondes. Indicateur 2 : Le First Input Delay (FID) : Cet indicateur mesure l’interactivité et ne doit pas dépasser un FID de 100 millisecondes Le Cumulative Layout Shift (CLS) : Cet indicateur mesure la stabilité visuelle de l’interface utilisateur. Le score doit être inférieur à 0,1. Vous pouvez mesurer ces 3 éléments grâce à votre Search Console. Dans un premier temps, la mise à Jour Google Page Experience sera uniquement appliquée sur mobile. Les sites proposant la meilleure expérience utilisateur sur mobile selon les critères cités ci-dessus seront favorisés.  PRIME DAYS Les Prime Days ont été l’évènement du mois en e-commerce : Quelles ont été les tendances de cette session 2021 ? Les Primes Days d’Amazon du 22 et 23 Juin, c’est l’occasion pour les 200 millions de membres à l’échelle mondiale de profiter de réductions pendant deux jours sur des milliers de produits. Un phénomène encore à demi-teinte puisque 43% des shoppers prévoient de participer à cet événement (1). 👉 Une offre diversifiée qui réjouit les internautes ! Cette année, Amazon ne compte pas moins de 300 000 PME dont 11 000 PME françaises qui proposent plus d’un million d’offres sur la marketplace. L’occasion de consommer auprès des marchands français. Une tendance qu’Amazon a décidé de mettre en avant en proposant un espace nommé « Boutique des entreprises françaises » qui référence  toutes les offres des entreprises de l’Hexagone 15 jours avant les Prime Days. L’an dernier, les internautes français ont réalisé plus de 18 millions d’euros d’économies sur l’ensemble de leurs achats. 👉 Une tendance spectaculaire pour le live shopping ! Le live shopping a explosé durant les Prime Days, au profit des marques comme Bose, JBL, Veet, Oral B, etc… qui ont mis en place des sessions de live shopping pour leurs internautes. 👉 Des budgets publicitaires adaptés à l’évènement ! Quel budget SEA consacré à Amazon Ads durant les Prime Days ? Notez qu’en 2020 les ventes issues des campagnes publicitaires Amazon ont été multipliées par 5 pour une hausse du CPC de 20%(2).A date les résultats de l’édition 2021 ne sont pas encore disponibles. Le levier Amazon Ads devient encore plus rentable durant l’évènement. Le ROAS double par rapport aux tendances habituelles, en passant de 5 en moyenne à plus de 10 (2). BREXIT 6 mois après le Brexit, le e-commerce a déjà subi un impact négatif non négligeable entre le Royaume-Uni et l’UE. Comment les marchands s’adaptent-ils ? Le départ du Royaume-Uni de l’Union Européenne le 1er janvier 2021 a engendré des modifications structurelles dans le secteur du e-commerce à l’échelle mondiale. D’après l’Office national des statistiques britanniques, l’activité du commerce extérieur au Royaume-Uni a été impactée par le Brexit de façon immédiate, dès le mois de janvier. Le Royaume-Uni est le premier marché e-commerce en Europe et le troisième dans le monde derrière les Etats-Unis et la Chine