Retrouvez un condensé d’actualités ecommerce du mois de Mars 2022 ! En tant que partenaire croissance, nous avons choisi de vous partager chaque mois, une sélection de l’actualité SEA et e-commerce.

On rembobine

LA FIN D’ANALYTICS ?

Les propriétés Universal Analytics (UA) de Google Analytics vont être fermées en juillet 2023. Que faut-il faire ?

Google Universal Analytics plus connu sous le nom de Google Analytics, se termine et évolue en Google Analytics 4.

Dès le premier juillet 2023, l’ensemble des propriétés Universal Analytics (outil de suivi des données et du comportement des utilisateurs sur un site internet) seront obsolètes. Le traitement des nouveaux appels et la collecte des données vont cesser de fonctionner. A partir du premier octobre 2023, ce sera l’ensemble des propriétés Universal Analytics 360 qui cesseront de fonctionner.

Cependant, les entreprises utilisant cet outil pourront toujours accéder aux données précédemment collectées dans leurs propriétés Universal Analytics jusqu’à 6 mois après le 1er juillet 2023 (soit jusqu’au 1er janvier 2024). A savoir que passé ce délai, il ne sera plus possible d’accéder aux rapports de données, ni depuis l’interface, ni depuis l’API. Il est donc important pour les utilisateurs de cette fonctionnalité d’exporter l’historique de leurs rapports durant cette période afin de pouvoir garder l’historique des données collectées.

  • Comment savoir quelles versions d’Analytics vous utilisez ? 

A savoir que si votre propriété a été créée avant le 14 octobre 2020 (date à laquelle a été introduit Google Analytics 4), alors vous utilisez certainement Universal Analytics. Si vous l’avez créée après cette date, alors vous utilisez probablement Google Analytics 4.

Vous pouvez également vérifier le type de propriété que vous possédez grâce à son ID. Pour Universal Analytics, l’ID commence par « UA », et se termine par un chiffre. Si vous êtes sur Google Analytics 4, l’ID ne comporte que des chiffres.

Vous pouvez passer à cette nouvelle version d’Analytics dès maintenant. Les e-commerçants concernés pourront dores et déjà créer et conserver leurs données historiques et se familiariser avec l’interface.

  • Quelle solution ?

Avec cette obsolescence programmée, la solution de Google est l’utilisation de Google Analytics 4. Cet outil a été lancé il y a maintenant 2 ans et vient remplacer Universal Analytics.

Google met l’intelligence artificielle au centre de sa plateforme avec cette nouvelle génération de l’outil. Analytics 4 se base sur des indicateurs prédictifs et permet ainsi de remonter des informations plus utiles et précises que son prédécesseur et ce de façon automatique. De plus, cette fonctionnalité qui est conçue pour s’adapter à la constante évolution du e-commerce va permettre aux entreprises d’unifier les parcours des utilisateurs sur leurs sites web et leurs applications. Les e-commerçants vont pouvoir utiliser la technologie d’apprentissage automatique de Google pour faire apparaître et prévoir de nouvelles informations non générées sur la version précédente d’Analytics.

Et puisqu’aujourd’hui la confidentialité des données est primordiale pour les internautes, Google Analytics 4 s’appuie sur ce critère. Cette nouvelle version permet d’anonymiser les adresses IP des internautes, et devrait même prochainement ne plus utiliser les cookies tiers puisque Google cherche à les supprimer.

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PRÉVISIONS MAISON & JARDIN

Google a publié les résultats 2021 pour le secteur Maison & Jardin dont la saison va commencer.

Les beaux jours arrivent, le printemps est là. Avec la météo changeante, et la préparation de la saison qui arrive, retrouvez les résultats chiffrés publiés par Google sur l’année 2021 pour le secteur Maison & Jardin.

En 2021, la catégorie jardin en général a connu +5,8% de croissance du volume des requêtes sur Google, par rapport à l’année précédente. L’intérêt des internautes se montre de plus en plus tôt dans l’année, les recherches faites par ces derniers commençant dès le mois de février (+34% ce mois-ci en 2021 vs 2020) soit 2 mois avant le début de la saison. Cependant le pic des recherches reste sur le mois d’avril soit au commencement de la saisonnalité qui a connu une croissance de +7% par rapport à 2020.

Il est donc important pour les e-commerçants de promouvoir leur catalogue produit le plus tôt possible auprès des internautes susceptibles d’être intéressés.

On peut également relever que ce secteur connaît de plus en plus de concurrence puisqu’il ressort une augmentation de +5,8% d’annonce ayant dénouée sur un achat suite à une recherche par rapport à 2020.

Zoom sur les catégories jardin :

  • Terrasse et patio : cette catégorie a connu une forte croissance en 2021 avec +36,7% d’investissement vs 2020. Les recherches sur Google des consommateurs commencent dès le mois de février (+32% par rapport à février 2020). La demande reste la plus forte au mois de juin, avec le commencement des soldes d’été. A noter que les mois où la demande commence à se manifester ne sont pas assez exploités, les e-commerçants ne proposant pas forcément les produits recherchés en début d’année. Il faut prévoir d’être en mesure de proposer ces produits au plus tôt afin de pouvoir répondre aux besoins dès qu’ils se manifestent.
  • Mobilier et accessoire d’extérieur : Pour 2021 il a été enregistré en 2021 une hausse de +7,5% des requêtes ainsi qu’une croissance de 48,7% sur les achats réalisés pour cette catégorie. La demande se manifeste dès février (+83% sur ce mois vs 2020) et culmine en avril, au début du printemps. Il faut donc se positionner dès le début de l’année pour être visible durant les 4 premiers mois au moment où la demande est la plus forte, d’autant plus qu’il +28% d’annonces par requêtes matchées et donc plus de concurrents présents pour cette catégorie.
  • Piscine sauna et spa : Pour cette catégorie les recherches effectuées n’ont pas connu une croissance importante (+2% vs 2020). La demande se manifeste principalement pendant les périodes de soldes. Cependant, une hausse des investissements a été notée avec +28% enregistré en 2021, achats principalement réalisés en mars et en avril.
  • Outils de jardinage et jardinage : la demande pour les outils de jardinage commence en mars et se termine en juin (+22% vs 2020) là où la demande est la plus forte (48% vs juin de l’année précédente), ce qui montre un décalage entre le moment où la demande se manifeste et le moment où l’achat se réalise. Pour le jardinage la demande et l’offre concordent : la demande se manifeste en mars principalement et les achats se réalisent principalement en avril et mai (+37,5% sur cette période par rapport à 2020).

Afin de mieux communiquer avec les internautes et attirer leur attention, les retailers utilisent de plus en plus Youtube (+204% en 2021) juste avant le lancement de la saison. A noter que 90% des utilisateurs découvrent des marques en utilisant Youtube, et 85% d’entre eux réalisent un achat sous 24h après cette découverte.

Il existe aujourd’hui différents moyens et canaux pour se rendre visible sur le web, et ce à la bonne période en fonction de vos saisonnalités.

 

INFLATION & CONSOMMATION

+7,5% de hausse de l’inflation en rythme annuel au mois de mars, comment cela impacte les consommateurs français ? 

Invibes Advertising a publié les résultats de son enquête réalisée par Happydemics auprès d’un panel de Français concernant l’inflation que nous connaissons actuellement et comment elle influence leurs comportements d’achats.

Sur les 1107 personnes interrogées par Insight Adverstising 71% d’entre eux pensent que l’inflation va avoir un impact sur leur pouvoir d’achat. Ces consommateurs pensent que la hausse des prix va principalement impacter les produits français (55% d’entre eux) et les produits fabriqués à l’étranger (38%).

Face à cet impact, les consommateurs français sont prêts à limiter leurs dépenses :

  • 58% d’entre eux considèrent reporter leurs achats non prioritaires et donc attendre une baisse des prix pour acheter des produits qu’ils auront déterminés comme non essentiels pour le moment.
  • 55% des répondants disent qu’ils préfèrent réduire leur consommation plutôt que de la reporter. Ils vont donc continuer d’acheter mais en quantité réduite.
  • 40% préfèrent comparer les prix des produits similaires et se tourner vers une marque qu’ils ne connaissaient pas jusqu’à présent si celle-ci propose le produit avec les mêmes fonctionnalités mais moins cher.

Et pour le e-commerce ?

L’étude dit que 58% des personnes sondées pensent que l’ecommerce va leur permettre de faire des économies : 43% s’attendent à trouver les meilleurs prix sur les marketplaces (Amazon, CDiscount, Fnac, …). Seuls 7% des personnes interrogées pensent les trouver sur les sites spécialisés.

On relève que 40% d’entre eux ne savent pas où trouver les meilleurs prix sur internet. Il est donc primordial pour les PME de se rendre visible sur les moteurs de recherche. Presque la moitié des personnes interrogées disent qu’afficher l’évolution du prix (promo, soldes, livraison offerte, …) sur les publicités en ligne leur permet de prendre leurs décisions d’achat plus rapidement.

Les principaux secteurs pour lesquels les internautes français privilégient l’achat en ligne sont : les produits électroniques et électroménagers ainsi que les produits culturels et loisirs pour 37% d’entre eux et étonnamment les produits ménagers cosmétiques (17%).

La hausse de l’inflation pousse donc les français à revoir leurs comportements d’achats en se tournant vers les meilleurs prix souvent proposés par les e-commerçants.

 

EUROPE 1 – 0 GAFA

Un nouveau règlement établi par le Conseil et le Parlement européen pour réguler les géants du e-commerce.

Ce 24 mars, le Conseil de l’Europe et le Parlement européen ont publié la première version du Digital Market Act : un règlement qui va empêcher les géants e-commerçants de violer le droit de la concurrence en Europe.

Le but du Digital Market Act est d’encadrer l’activité des géants e-commerçants en Europe en leur imposant des règles précises à respecter sur le droit de la concurrence. Le texte est encore provisoire et devrait être validé avant le 30 juin 2022. Une fois la version définitive signée, les pays membres auront un délai de 6 mois pour le mettre en œuvre.

Ce texte concerne :

  • Les grandes entreprises ayant au moins un service de plateforme (marketplace, ventes sur applications, moteurs de recherche, les réseaux sociaux, les services cloud ou de publicité, les assistants vocaux, les téléviseurs connectés et les navigateurs web) dans 3 pays membres de l’Union Européenne.
  • Les entreprises ayant atteint un CA de plus de 7,5 Mds d’euros en Europe durant ces trois dernières années
  • Les entreprises qui comptent +45millions d’internautes et +10000 revendeurs en Europe.

Amazon est donc grandement concerné, l’entreprise ayant réalisé en 2020 44 milliards d’euros de chiffre d’affaires et cumulant plus de 200 000 vendeurs tiers sur sa marketplace en France en décembre 2019.

Quelles limitations ?

  • Les marketplaces ne pourront plus utiliser les données des entreprises vendant sur leurs plateformes pour lancer leurs propres produits concurrents.
  • Les clauses de parité tarifaire seront interdites : les e-commerçants vendant sur les marketplaces pourront continuer de vendre leurs produits moins cher sur d’autres plateformes ou sur leurs sites.
  • Les plateformes e-commerçantes vont devoir donner entièrement accès aux données de performance marketing et/ou publicitaire aux entreprises vendant sur leurs canaux.
  • Les géants e-commerçants ne pourront plus placer leurs produits en premiers dans les résultats de recherche.

C’est la Commission européenne qui sera chargée de surveiller et faire appliquer ces règles. Toute entreprise ne respectant pas le Digital Market Act pourra être sujette à des amendes pouvant aller jusqu’à 10% de leur chiffre d’affaires mondial, et jusqu’à 20 % si récidive. Et si une entreprise enfreint ces règles au trois fois en huit ans minimum, une enquête pourra être lancée afin d’imposer des mesures correctives.

 

FRAUDE RECONDITIONNÉE

Essor des produits de seconde main, la DGCCRF veille au grain pour protéger les consommateurs !

La DGCCRF a enquêté, en 2020 et 2021, auprès de 84 sites de vente en ligne et magasins : des anomalies ont été constatées chez 62% d’entre eux.

En effet, les entreprises qui vendent des produits reconditionnés ne semblent pas suivre les règles d’information des consommateurs. Les résultats de cette enquête ont été publiés le 7 mars 2022. Ils annoncent que les vendeurs de produits reconditionnés ne communiquent pas assez clairement sur l’état de leurs produits : les consommateurs ne sont pas entièrement informés de la qualité des produits qu’ils achètent (que ces produits soient reconditionnés c’est à dire remis en bonne condition et en état de fonctionnement, prêt à être revendu ou que ce produit soit en occasion c’est à dire vendu en l’état, sans remise en état).

Certaines entreprises utilisent le terme “reconditionné” alors que les tests de vérification des fonctionnalités de l’appareil et la remise en bon état n’ont pas été appliquées dans 100% des cas. Sur les 84 entreprises auprès desquelles l’enquête a été réalisée, 62% d’entre elles proposaient des produits à la vente alors que ces derniers présentaient des anomalies.

Pour vendre des produits dits “reconditionnés” les sites de vente en ligne et magasins doivent pouvoir justifier que les vérifications et différents tests ont été réalisés sur les produits proposés à la vente. Ces démarches permettent ainsi la distinction entre les produits d’occasions de ceux reconditionnés.

Le code de la consommation exige des professionnels une totale transparence sur les informations sur les caractéristiques essentielles du produit vendu (provenance, date de production, la mise à jour, les tests,…) avec des preuves à l’appui (factures, certificats des tests, des diagnostics, …)

La DGCCRF fait également ressortir le manque d’information communiqué sur la garantie légale qui est régulièrement fausse, absente ou trompeuse. A savoir que la garantie est de 2 ans pour les produits neufs et d’occasions, et est totalement gratuite. Certaines entreprises proposaient leurs propres garanties commerciales, qui elles sont payantes, en créant une confusion auprès du consommateur.

La revente des produits déjà utilisés, et leur mise à niveau est de plus en plus fréquente. Les internautes se tournent de plus en plus vers un mode de consommation responsable, ils attendent pour autant pas moins des entreprises sur la qualité du produit et sur les informations fournies.

Comme l’aborde cet article, ces entreprises proposant des produits reconditionnés et/ou d’occasions sont surveillées et sanctionnées. Au suite de cette enquête, la DGCCRF a ainsi soumis 27 injonctions et 26 avertissements.

Il est donc très important pour les e-commerçants vendant des produits d’occasions ou reconditionnés de connaître leurs obligations. Ils doivent être en mesure de montrer aux clients toutes les preuves et tests attestant de la bonne qualité de ces produits.

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LIVRAISON + RAPIDES

Lepetitjournal dévoile quelques conseils pour livrer vos produits plus rapidement.

La livraison des produits reste un atout primordial pour les entreprises afin d’obtenir la bonne satisfaction des clients. C’est un avantage concurrentiel non négligeable et un critère souvent surveillé de près par les internautes avant de réaliser leurs achats.

Voici donc quelques conseils pour bien gérer les livraisons et optimiser les délais.

Miser sur la rapidité :

La rapidité de la préparation de la commande est un fort avantage concurrentiel. Deux astuces :

  • Misez sur la technologie : Il est important d’avoir le matériel nécessaire pour le conditionnement des produits. La commande sera ainsi expédiée très rapidement, à la grande satisfaction du client.
  • Anticipez vos commandes : Les e-commerçants peuvent également mettre leurs produits en conditionnement par avance, en vue d’une forte période (noël, soldes, été, …) en fonction de leur saisonnalité.

Gérer la chaîne logistique :

Il est important pour les e-commerçants de digitaliser la gestion de la chaîne logistique. et Sous forme de logiciel ou application, toutes les informations (stocks, produits et délais de livraison) sont centralisées sur le même outil, souvent rapide et facile à prendre en main. Ces outils peuvent être adaptés aux besoins de l’entreprise pour avoir un suivi de la supply chain et des transports.

Il est possible d’automatiser la commande et la gestion des stocks, faciliter l’expédition des commandes et les ordres de livraison aux transporteurs pour gagner du temps et être réactif face aux commandes.

Optimiser son stockage :

Les lieux d’entreposage des e-commerçants sont également très importants. Plus l’entrepôt est près de la zone de chalandise, plus rapides seront l’expédition et la livraison Pour optimiser cette rapidité, misez sur la logistique urbaine. Cela revient à entreposer vos produits dans ces espaces en zones urbaines ou les consommateurs sont plus présents et connectés, et donc commandent plus. Stratégiquement parlant, avoir plusieurs espaces d’entreposage permet de livrer plus rapidement et de couvrir plus de zones.

Le transporteur choisi pour effectuer les livraisons est un critère non négligeable. Les entreprises ne doivent pas hésiter à en proposer plusieurs pour laisser le choix au client. L’expérience du transporteur permettra une livraison plus courte et rapide, avec un suivi sérieux des colis pour la satisfaction du client.

 

Etude du mois 🏆

COMPORTEMENTS DES CONSOMMATEURS FRANCAIS

Strategy & partage son étude sur les tendances et comportements des consommateurs Français. 

Cette étude «Global Consumer Insights Survey» est basée sur les tendances et comportements des consommateurs en France. Elle s’appuie sur la constante augmentation de l’e-commerce et démontre que les internautes favorisent les achats omnicanaux.

  • La consommation durable :

La croissance des achats en ligne porte les e-commerçants à se renouveler pour rester attractif face aux besoins et attentes des consommateurs. Bien que les promotions (soldes, black friday, cyber monday, …) et la diversité de l’offre restent le principal atout des entreprises, la nouvelle génération de cyber-consommateurs à des attentes de plus en plus exigeantes en termes de responsabilité vis à vis de l’environnement :

  • Des produits plus durables : Aujourd’hui les entreprises doivent pouvoir proposer des produits qualifiés de “durables et responsables”, critère important pour 72% des consommateurs français et critère n°1 pour 40% de cette population.
  • Des produits plus traçables : Plus de la moitié des internautes interrogés (51%) par Système& ont indiqué surveiller la traçabilité et la transparence sur la fabrication du produit avant de réaliser leurs achats, soit 3 points de plus qu’en 2020.
  • Des produits Made in France : Malgré l’importance du prix, un tiers des e-consommateurs français se dit prêt à payer plus cher pour des produits et des packaging responsables et durables. 35% de ces internautes ont déclaré qu’ils achèteraient d’autant plus de produits locaux français si l’offre était plus importante et diversifiée.

Aujourd’hui, le secteur du e-commerce est également marqué par la forte croissance (+12% en 2021) du marché de la seconde main. Plus de la moitié des Français ont déjà acheté des produits d’occasion ou recyclés sur internet et prouvent ainsi l’importance des conséquences environnementales lors de leurs raisonnements avant l’achat.

  • La protection des données : 

Autre facteur prenant de plus en plus d’importance pour 80% des consommateurs français : l’utilisation de leurs données sur le web. L’utilisation de ces données reste une préoccupation importante pour eux et leur confiance envers les e-commerçants. Si 40% sont prêts à partager leurs données pour une expérience personnalisée ou pour une rémunération, 40% d’autres internautes préfèrent partager leurs données en échange d’une politique de sécurité claire.


Le chiffre du mois 💯

8,5

8,5% c’est la hausse du marché retail e-commerce en 2022 soit à peine 3 points de plus que retail en global. Soit une croissance 50% inférieure à celle de 2021 !

Découvrons plus en détail le rapport publié par Insider Intelligence/Emarketer sur leurs prévisions ecommerce pour 2022.

Pour l’Europe, la croissance retail e-commerce attendue en 2022 ne sera que de 6,1%, et cela s’explique par les forts taux de croissance enregistrés lors de ces 2 dernières années (+13,4% en 2020 ; 12% en 2021) et la plus faible croissance en terme de nouveaux acheteurs (+1,1% en 2022).

L’Europe de l’ouest va également représenter 46,8% des ventes mondiales en mcommerce (achats effectués sur mobiles) cette année, les consommateurs européens étant de plus en plus à l’aise pour réaliser leurs achats via leurs téléphones, l’appareil permettant de le faire n’importe où et rapidement.

La France est 7ème au classement 2022 des ventes e-commerce avec une croissance attendue de +8,5% dans le poids des ventes en ligne mondial soit 40% de plus que la moyenne européenne.

En conclusion, ces 8,5% de croissance du retail ecommerce en 2022 représenteront 8Md de $ de Chiffre d’Affaires additionnel à se répartir entre plus de 177 000 sites ecommerce en France (Source: fevad 01/2022). Soit un peu plus de 45 000$ par site en moyenne…


Success story du mois 💯

DECOCUIR

Ce mois-ci, nous partons à la découverte du secteur du cuir en vous présentant DecoCuir. DecoCuir est le 1er site français d’articles pour le travail du cuir à destination des professionnels (BtoB) et des particuliers (BtoC).

La marque a choisi SteerFox pour l’accompagner dans sa croissance e-commerce et relever 2 objectifs :

  • Elargir la cible à une nouvelle clientèle pour faire découvrir ses produits
  • Développer son CA en ligne

Résultats, en 2 ans d’accompagnement :

  • +60% de CA e-commerce
  • +140% de conversions

Découvrez la stratégie de croissance mise en place pour DecoCuir !

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